SEMAINE DU 24 AU 30 DECEMBRE

SONG SUNG BLUE

Comédie dramatique et musicale; Réalisé pr Craig Brewer; avec Hugh Jackman, Kate Hudson, Michael Imperioli, Fisher Stevens, Jim Belushi; USA 2025, 132 minutes. 

Dans une foire au Wisconsin a lieu un spectacle où divers amateurs tentent leur chance en imitant leurs vedettes préférées. C’est à ce moment que Mike Sardina, ancien combattant du Vietnam et alcoolique maintenant sobre, fait la rencontre de Claire Stengl, une femme qui reprend les chansons de Patsy Cline. Ensemble, ils créent le duo Lightning et Thunder et décident de former un groupe hommage au chanteur Neil Diamond dans le but de divertir le plus grand nombre de gens…(Résumé: Régie du Cinéma Québec)

• I’ve never been wild about the term “faith-based movie” — or, at least, the idea that it should only be applied to PG-rated calamity-meets-redemption soap operas micro-targeted to Evangelicals. “Song Sung Blue,” in almost every way, is a faith-based movie, though this one is rooted in the holly holy dream of the church of Neil Diamond. (..) At first, the movie may strike you as a parable of more kitsch than faith. (..) “Song Sung Blue” is certainly a movie for the bom bom bom crowd. Mostly, though, it’s for the Neil Diamond fans who will listen to Mike and Claire, in their solo show at the Ritz Theater in Milwaukee, in a state of slow-burn bliss. (Owen Gleiberman/Variety) 

THE HOUSEMAID

Thriller; Réalisé par Paul Feig; avec Sydney Sweeney, Amanda Seyfried, Elizabeth Perkins, Megan Ferguson; USA 2025, 131 minutes. 

Après avoir falsifié son curriculum vitæ pour tenter de camoufler son lourd passé, Millie se rend chez les Winchester, une famille bien nantie à la recherche d’une femme de ménage. Elle est accueillie par Nina, qui lui décrit les tâches qu’elle devra faire si elle est embauchée, et fait connaissance avec le mari de Nina, Andrew, ainsi que la fille du couple, Cecelia. Lorsque l’entretien se termine, Millie retourne à sa voiture devenue sa maison et se cherche un endroit où se garer pour la nuit. Le lendemain, elle reçoit un appel de Nina qui lui annonce qu’elle a obtenu l’emploi et qu’elle commence le jour même. Au moment où elle s’installe dans la somptueuse demeure, elle remarque que l’attitude de Nina a complètement changé. Millie réalise alors qu’elle n’est pas la seule à cacher quelque chose…(Résumé: Régie du Cinéma Québec)

• Director Paul Feig is known for broad comedy; now he cranks up the schlock-serious dial for an outrageously enjoyable – or at any rate enjoyably outrageous – psycho-suspense thriller in the spirit of 90s erotic noir, adapted by screenwriter Rebecca Sonnenshine from the 2022 bestseller by Freida McFadden. We are back in the sleazy, glossy world of Curtis Hanson’s The Hand That Rocks the Cradle or Joe Eszterhas’s Basic Instinct, but skating quite close, though not too close, to satire. (Peter Bradshaw/The Guardian) 

MUGANGA – CELUI QUI SOIGNE

Drame historique; Réalisé par Marie-Hélène Roux; avec Isaach de Bankolé, Vincent Macaigne, Manon Bresch; France 2025, 105 minutes.

Denis Mukwege, médecin congolais et futur Prix Nobel de la paix, soigne — au péril de sa vie — des milliers de femmes victimes de violences sexuelles en République démocratique du Congo. Sa rencontre avec Guy Cadière, chirurgien belge, va redonner un souffle à son engagement….

• Une aventure humaine bouleversante. (Positif) C’est un film qui ne montre pas tant de violences, mais qui les nomme. Viol, colonialisme, capitalisme : Muganga a compris que pour commencer à combattre l’horreur, il faut savoir la nommer. (Les Inrocks) Un sujet fort pour un film sincère, un peu pris dans l’admiration. (Télérama) La réalisatrice Marie-Hélène Roux fait le choix de frapper les esprits, sans voyeurisme certes, mais sa mise en scène léchée, exaltant les couleurs, reste scolaire. (Le Monde) 

Nur bei Cinextdoor

DER MEDICUS II

Historisches Drama; Regie: Philipp Stölzl; mit Tom Payne, Emily Cox, Aidan Gillen, Liam Cunningham; Deutschland 2025, 143 Minuten. 

Im 11. Jahrhundert kehrt der Medicus Rob Cole nach seiner Flucht aus Persien in seine englische Heimat zurück. In London will er sein im Ausland gewonnenes Wissen anwenden, stößt jedoch auf Misstrauen, Vorbehalte und Ablehnung durch die medizinischen und gesellschaftlichen Eliten. Erst als der König ihn bittet, seine psychisch erkrankte Tochter zu behandeln, eröffnet sich Rob ein neues Feld: die Heilung der Seele. Während er sich zunehmend mit den inneren Abgründen des Menschen auseinandersetzt, gerät er zugleich in die Machtspiele des Hofes. Zwischen politischen Intrigen, medizinischen Herausforderungen und der Suche nach Anerkennung muss Rob sich behaupten.

• Fortsetzung von “Der Medicus” aus dem Jahr 2013. Ein deutscher Film, der offensichtlich auf Englisch gedreht wurde, wird in deutscher Sprache gezeigt. Das riecht leider wieder stark nach “Europudding”. (jpt)
• Das späte Sequel schreibt die Geschichte anders fort als der Roman. Zwischen Aberglauben und Wissenschaft, Kelten und Christen entspinnt sich ein Spiel voller Intrigen, Schwertkämpfe und zwielichtiger Charaktere mit soliden Schauwerten. (..) Leider verliert Stölzl in der zweiten Hälfte den medizinischen Aspekt aus den Augen, der den Medicus interessanter macht als übliche Historienfilme. (..) Doch trotz kreativer Abweichungen von historischen Fakten und einer Aneinanderreihung vorhersehbarer Wendungen wird man bis zum hanebüchenen Finale grundsätzlich gut unterhalten. (Michel Güthlein/epd-film.de) 

ANACONDA

Comédie; Réalisé par Tom Gormican; avec Paul Rudd, Jack Black, Steve Zahn; USA 2025, 100 minutes.

Doug et Griff spartagent depuis toujours un rêve un peu fou : réaliser leur propre remake de leur film préféré, le cultissime “Anaconda”. En pleine crise de la quarantaine, ils décident de se lancer et se retrouvent à tourner en plein cœur de l’Amazonie. Mais le rêve vire rapidement au cauchemar lorsqu’un véritable anaconda géant transforme leur plateau déjà chaotique en un véritable piège mortel…

• Le film sortant partout au m’eme moment, i ln’y a pas encore de critiques fiables, Mais je dois avouer que la bande-annonce me fait sacrément peur… et pas dans le sens de “horrifique”. (jpt)  

THE SPONGEBOB MOVIE – SEARCH FOR SQUAREPANTS

Animation numérique; Réalisé par Derek Drymon; avec les voix (v.o.) de Tom Kenny, Clancy brown, Mark Hamill; USA 2025, 88 minutes. 

Bien décidé à prouver à M. Krabs qu’il est désormais un grand garçon, Bob l’ Eponge se lance sur les traces du légendaire Hollandais Volant, un redoutable pirate fantôme. Cap sur une épopée déjantée, entre fous rires, frissons et péripéties sous-marines, jusque dans les abysses les plus mystérieux de l’océan — là où aucune éponge n’a jamais osé plonger !

• It might be an exaggeration to say that “The SpongeBob Movie: Search for SquarePants” is the movie that finally squeegees the life out of SpongeBob SquarePants. But watching this friendly yet rather toothless adventure, with its jokes that simply don’t pop the way they used to, you can feel SpongeBob sliding into the zone of a harebrained yet rote elder statesman of high-energy juvenilia. (Owen Gleiberman/Variety) 

Films made in/with Luxembourg

A LA POURSUITE DU PERE NOEL

Comédie; Réalisé Par James Huth; avec Patrick Timsit, Isabelle Nanty, Eugénie Anselin; France/Luxembourg (Bidibul) 2025, 97 minutes. 

Zoé, 7 ans, en a assez que Timothée lui mène la vie dure. Pour se venger, elle demande au Père Noël une sarbacane à air comprimé, parfaite pour détruire le jouet préféré de Timothée. Sauf que le cadeau qu’elle reçoit à Noël n’est pas celui qu’elle attendait. Hors de question d’en rester là ! Zoé doit retrouver le Père Noël pour qu’il répare son erreur, quoi qu’il en coûte !

• Une comédie de Noël pour toute la famille, avec comme point de départ le harcèlement scolaire. [Une histoire] que la jeune actrice Théa De Boeck rend particulièrement émouvante, dans certaines scènes où son personnage n’ose pas forcément se confier. (Abus de Ciné) Évidemment conçu pour les enfants, “À la poursuite du Père Noël !” s’autorise toutefois quelques idées malicieuses et un humour décalé bienvenu. En s’amusant avec son esprit taquin, tout en sachant conclure avec pertinence, le film gagne la sympathie. (Les Fiches du Cinéma) Une comédie cartoonesque sur fond de lutte des classes où s’accumulent mille trouvailles visuelles livrées sur un rythme saccadé mais épuisant. (L’Obs) 

LE MUR DES ETOILES DE NOEL