Le soleil revient au cinéma… Il se pourrait bien que les nouveautés de cette semaine soient les dernières de la programmation dite pandémique, puisque la semaine prochaine verra la ré-ouverture des cinémas en France, ce qui devrait libérer plein de films restés prisonniers depuis des mois. On nous a d’ailleurs déjà annoncé la sortie de THE FATHER pour le mercredi 19 mai, film qui a notamment valu un nouvel Oscar à Anthony Hopkins. Alors si MORTAL KOMBAT annonce une embellie pour les cinémas, ses héros ne seront pas morts pour rien !
Jean-Pierre THILGES
MORTAL KOMBAT
Aventures fantastiques: Réalisateur: Simon McQuoid; avec Lewis Tan, Jessica McName, Josh Lawson; Scénario: Greg Russo, Dave Callahan, basé sur le jeu vidéo du même nom; Directeur/Photo: Germain McMicking; Musique: Benjamin Wallfisch; USA/Australie 2021, 110 minutes.
Lorsque les plus grands champions de la Terre sont appelés à combattre les ennemis de l’Autre Monde, ils doivent découvrir leurs véritables pouvoirs pour sauver notre planète de l’annihilation totale. Mortal Kombat est une nouvelle aventure cinématographique basée sur la franchise de jeu vidéo iconique…
- It was the gore as much as the gameplay that made the original “Mortal Kombat” such a success at the arcade, and while the 1995 New Line movie broke the curse on video game adaptations — following such bombs as “Street Fighter” and “Super Mario Bros.” earlier that decade — the film version did so by turning the koncept into a slick but kitschy action spectacular. While heavily indebted to Hong Kong cinema, the fluke hit (which made a whopping $122 million) hasn’t aged well, considering how much “The Matrix” and “Crouching Tiger, Hidden Dragon” transformed Hollywood fight scenes. Now, “Mortal Kombat” gets the R-rated reboot its fans feel the property deserves, which entails being as graphic as the game was when it comes time for the pugilists to eliminate their opponents, whether that means ripping out their hearts or buzz-sawing them in twain with a razor-sharp hat. Such ruthless finishing moves may be the selling point here, but it’s the more nuts-and-bolts backstory that matters if the studio hopes to build a fresh film franchise around the property. (Peter Debruge/Variety)
Exklusiv in den CDAC Kinos
ANTBOY – DER BISS DER AMEISE
Original: Antboy; Kinderdilm; Regie: Ask Hasselbalch; mit Oscar Dietz, Samuel Ting Graf, Amalie Kruse Jensen; Drehbuch: Anders Ølholm, basiert auf die Kinderbuchreihe von Kenneth Bøgh Andersen. Kamera: Niels Reedtz Johansen; Musik: Peter Berger; Dänemark 2013, 74 Minuten.
Pelle ist 12 und unsterblich in seine Klassenkameradin Amanda verliebt – aber die nimmt ihn überhaupt nicht wahr. Wenn er für die zwei fiesen Typen aus seiner Schule bloß genauso unsichtbar wäre. Als er mal wieder vor ihnen flüchten muss und sich in einem Garten versteckt, wird er von einer Ameise gebissen – einer genmanipulierten Ameise…
- Der Film stammt aus dem Jahr 2013 und war der erste Teil einer Trilogie, deren beiden weiteren Episoden demnächst auch in den CDAC Kinos auftauchen könnten. (jpt)
BARBIE ET CHELSEA : L’ANNIVERSAIRE PERDU
Vivez une aventure haute en couleur avec Barbie, Chelsea et le reste de la famille Roberts qui embarque sur un énorme paquebot de croisière pour les vacances. Chelsea est excitée comme une puce à l’idée de fêter son septième anniversaire à bord de cet incroyable bateau. Mais après avoir franchi la ligne de changement de date, Chelsea se rend compte que son anniversaire est passé à la trappe ! Pour tenter de le sauver, elle descend du bateau et se lance dans un incroyable périple sur une île tropicale magique. (63 minutes)
Séances spéciales : Films made in Luxembourg
SUR LE FIL DU TEMPS 49, bd Royal 1962-2020 **
Documentaire; Réalisation, concept: Serge Wolfsperger; avec Arnaldo Ferragni; Luxembourg 2021, 110 minutes.
Menacé par la démolition de l’immeuble au 49, bd Royal qu’il habite depuis sa construction en 1962, Arnaldo Ferragni (90 ans) reconstitue l’histoire du quartier qui subit une ultime métamorphose : la construction d’un site moderniste le Royal Hamilius avec l’arrivée du tram sur le bd Royal. Sa rencontre avec le chef de chantier Achille Villa va bouleverser la perception d’Arnaldo de la modernité. Guidé par Achille, il découvre les entrailles du chantier et le travail colossal des ouvriers : les bâtisseurs des temps modernes, les nomme-il. Arnaldo se sent investit d’une mission au crépuscule de sa vie : opérer la jonction entre l’ancien et le moderne. A travers des entretiens avec des habitants du quartier, la bourgmestre de la ville, un ami architecte, Arnaldo prend conscience de la fuite du temps et la lente disparition de ses souvenirs. Il va mener une enquête sur l’évolution du quartier en se posant cette éternelle question : qu’est ce qui pousse les hommes a se projeter dans le futur en détruisant les traces du passé ?
- J’ai mis deux étoiles (un peu!) au film pour son sujet, alors qu’une seule étoile (pas du tout!) aurait suffi. Je m’explique: Au bout d’une heure de projection, je regardais ma montre, puis je re-regardais ma montre, avant de re-re-re-regarder ma montre. Le film avait muté d’un sujet passionnant et d’un personnage principal attachant à un interminable bout-à-bout d’images, de paroles, de séquences vues et revues sous des angles différents, de déclarations entendues et ré-entendues, bref c’était répétitif à mort et j’étais plusieurs fois sur le point de quitter la salle, ce que je ne fais pratiquement jamais. Mais j’ai tenu bon. Puis, euréka, vers 95 minutes, on voyait la fin arriver – ouf et re-ouf ! Mais non, rebelote – ça repartait de plus belle, cette fois on nous trimballait du Royal Hamilius en ville à l’université de Belval pour un entretien qui a donné son coup de grâce à un non-film et un non-documentaire lequel, à 50 minutes et sans toutes ces scories, se serait sans doute retrouvé avec 3 étoiles. À 110 minutes, c’est une corvée pure et simple ! Dans son état actuel, ce serait plutôt une paire de ciseaux en bronze qu’il faudrait au film. (jpt)
LE MUR DES ETOILES
LE MUR DES ETOILES et les HATARI PAPERS sont publiés par