Par où commencer?

birds-of-prey-poster-copy-1400x789Une semaine de folie! Comment tout voir sans devenir dingue? Et il y en a pour tous les goûts et de toutes les couleurs. Un  thriller politique basé sur des faits réels, un exercice de haute volée philosophique signé Terence Malick, une belle coproduction luxembourgeoise avec deux actrices magnifiques, une adaptation de bédé explosive qui offre un nouveau rôle complètement dingue à Margot Robbie, un méli-mélo de films français en dents de scie et…un étrange documentaire espagnol, autant vous dire que nous aussi on va faire la “Koplabunz” dans les prochains jour pour caser tout ça (non pas tout, quand-même) sur notre “Mur des Lamentations”. Sans oublier les Oscars qui seront décernés dans la nuit de Dimanche à Lundi, où “1917” devrait partir avec le trophée du meilleur film, Renée Zellweger et Joaquin Phoenix avec ceux des meilleurs acteurs…et “Parasite” avec la statuette du meilleur film étranger. Et si “Klaus” pouvait remporter l’Oscar du meilleur long-métrage d’animation, nous serions vraiment comblés! Jean-Pierre THILGES

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OFFICIAL SECRETS ****

Drame politique; Réalisateur: Gavin Hood; avec Keira Knightley, Adam Bakri, Ralph Fiennes, Matthew Goode, Rhys Ifans, Matt Smith; Scénaristes: Sara & Gregory Bernstein, Gavin Hood, basés sur des faits réels; Directeur/Photo: Florian Hoffmeister; Musique: Paul Hepker, Mark kilian; GB/USA 2019, 112 minutes; Sundance Film Festival 2019

En 2003, Katharine Gun, employée du service de renseignements du gouvernement du Royaume-Uni, à Cheltenham, en Angleterre, rend public un mémo confidentiel concernant une manœuvre secrète et illégale de la NSA pour orienter le vote des membres du Conseil de sécurité des Nations Unies en faveur de l’invasion américaine en Irak. Tandis que la presse s’emballe et tente de prouver l’authenticité du document, le quartier général du gouvernement anglais cherche à démasquer le responsable de la fuite à l’interne. L’étau se resserre sur Katharine et sur son conjoint kurde de confession musulmane. Elle risque une peine de prison pour avoir trahi son pays, et lui risque la déportation…

  • Un excellent film basé sur des faits réels, interprété par une Keira Knightley d’une sobriété exemplaire. Le film basé sur le procès fait à Katharine Gun  – elle avait publié un document secret pour essayer d’empécher la guerre illégale que George W.Bush, Dick Cheney, Condoleeza Rice et Tony Blair voulaient déclencher à tout prix, envers et contre pratiquement toute la planète. Nul besoin de préciser que le film de Gavin Hood est d’une importance capitale pour comprendre le merdier meurtrier initié par les USA et la Grande-Bretagne, qui a fait des centaines de milliers de victimes et dont les séquelles continuent encore de nos jours. Quatre étoiles. (jpt)

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  • Keira Knightley battles British intelligence in a staid but ennobling tale of a whistleblower who tried to prevent the Iraq War. As Hollywood re-litigates Dick Cheney’s influence on the launch of the Iraq War with “Vice,” here’s Gavin Hood’s addendum from across the Atlantic about a forgotten story that could have prevented the disaster. “Official Secrets” traces the 2004 criminal trial of Katharine Gun (Keira Knightley), a 28-year-old Mandarin translator for Britain’s secretive Government Communications Headquarters, aka GCHQ, who was arrested for leaking a memo from the United States’ National Security Agency requesting U.K. intelligence to spy on five UN Security Council members — “Angola, Cameroon, Chile, Bulgaria and Guinea” — so the Bush Administration could pressure them into voting for a UN mandate that would justify the war against Saddam Hussein. (…) The crux of Gun’s struggle is that she risked everything to tell the truth, and the war happened anyway. Ultimately, her personal story was neither uplifting, nor tragic, which means the film surrounding her doesn’t hurtle toward a satisfying arc. “Official Secrets” is a footnote in a messy, futile, and foolish war, whose mistakes are still being revealed over a decade and a half later. Gun didn’t change history. But here, she just has one regret: “I am only sorry that it failed.” (Amy Nicholson Variety)

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  • After the drone strikes and hi-tech bugs of Hood’s previous nail-biter Eye in the Sky, Official Secrets unfolds in an altogether fustier world of floppy drives and photocopiers, all whirring away to the strains of a soundtrack that works hard to accentuate the air of tension and suspense. It’s a gloomy environment: cinematographer Florian Hoffmeister shrouds the action in a cloak of darkness. Whether we’re in the sinister warrens of GCHQ or the supposedly more comfortable confines of a cafe or a bedroom, Hoffmeister and Hood trap their characters in dim pools of light, shadows crowding the edges of the frame. (Mark Kermode/The Guardian)

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A HIDDEN LIFE (aka: Radegund)

Drame de guerre; Réalisateur, scénariste: Terrence Malick; avec August Diehl, Bruno Ganz, Tobias Moretti, Valerie Pachner, Matthias Schoenaerts, Ullrich Mathes; Directeur/Photo: Jörg Widmer; Musique: James Newton Howard; USA/Allemagne 2019, 174 minutes; Festivals de Cannes, Toronto, Londres (ea) 2019. 

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Au début de 1939, à Sankt Radegund, dans les montagnes autrichiennes, la majorité des villageois votent en faveur de l’Anschluss, l’annexion de leur pays à l’Allemagne nazie. Mais, parmi eux, Franz Jägerstätter refuse obstinément de prêter allégeance à Hitler et de participer au conflit armé qui s’annonce. En raison de son geste, l’homme et sa famille subissent l’opprobre des citoyens. En 1943, emprisonné comme objecteur de conscience, Franz est transféré à Berlin, en attente de son procès…

  • J’ai arrêté d’aimer les films de Terrence Malick au cours des dernières années, parce que ses envolées méthaphysiques et son imagerie pieuse et répétitive m’agaçaient de plua en plus, mais des gens en qui j’ai (assez) confiance me disent que “cette fois, c’est différent”. À 174 minutes, je dois avouer que cela me fait peur quand-même. (jpt)

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  • Back in Cannes with his best film since ‘The Tree of Life,’ Terrence Malick poses tough questions about personal faith in a world gone astray in this epic return to form. There are no battlefields in Terrence Malick’s “A Hidden Life” — only fields of wheat — no concentration-camp horrors, no dramatic midnight raids. But make no mistake: This is a war movie; it’s just that the fight that’s raging here is an internal one, between a Christian and his conscience. A refulgent return to form from one of cinema’s vital auteurs, “A Hidden Life” pits the righteous against the Reich, and puts personal integrity over National Socialism, focusing on the true story of Austrian farmer Franz Jägerstätter’s rejection of Adolf Hitler and his refusal to serve in what he sees as an unjust war. And lest that sound like more flower-power finger-painting from a director whose oeuvre can sometimes feel like a parody of itself, consider this: Without diminishing the millions of lives lost during World War II, Malick makes a case for rethinking the stakes of that conflict — echoes of which can hardly be ignored in contemporary politics — in more personal terms. Here, it is the fate of one man’s soul that’s at play, and nearly three hours of screen time doesn’t seem the slightest bit excessive when it comes to capturing the sacrifice of Franz (German actor August Diehl), who was ostracized, imprisoned, and ultimately executed for his convictions. (Peter Debruge/Variety)

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Films made in (or with) Luxembourg

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Drame; Réalisateur: Filippo Meneghetti; avec Barbara Sukowa, Martine Chevalier, Léa Drucker; Scénaristes: Filippo Meneghetti, Malysone Bovorasmy, Florence Vignon; Directeur/Photo: Aurélien Marra; Musique; Michele Menini; France/Luxembourg/ Belgique 2019, 95 minutes;  Toronto Intl. Film Festival 2019; London  Film Festival 2019. 

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Nina et Madeleine, deux retraitées, sont profondément amoureuses l’une de l’autre. Aux yeux de tous, elles ne sont que de simples voisines vivant au dernier étage de leur immeuble. Au quotidien, elles vont et viennent entre leurs deux appartements et partagent leurs vies. Personne ne les connaît vraiment, pas même Anne, la fille attentionnée de Madeleine. Jusqu’au jour où un événement cruel fait tout basculer…

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  • Un air de Douglas Sirk (The Magnificent Obsession) plane sur cette comédie dramatique magnifiquement interprétée par Barbara Sukowa et Martine Chevalierm, deux comédiennes qui portent cette histoire à bout de bras. Un film où les petits gestes et les regards deviennent universels. Coproduit par Tarantula Luxembourg. (jpt)

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BIRDS OF PREY

… and the fantabulous emancipation of one Harley Quinn

Action déjantée: Réalisatrice: Cathy Yan; avec Margot Robbie, Mary Elizabeth Winstead, Ewan McGregot, Rosie Perez, Jurnee Smollett-Bell; Scénario: Christina Hodson; Directeur/Photo: Matthew Libatique; Musique: Daniel Pemberton; USA 2020, 109 minutes.

Vous connaissez l’histoire du flic, de l’oiseau chanteur, de la cinglée et de la princesse mafieuse ? BIRDS OF PREY (ET LA FANTABULEUSE HISTOIRE D’HARLEY QUINN) est une histoire déjantée racontée par Harley en personne – d’une manière dont elle seule a le secret. Lorsque Roman Sionis, l’ennemi le plus abominable – et le plus narcissique – de Gotham, et son fidèle acolyte Zsasz décident de s’en prendre à une certaine Cass, la ville est passée au peigne fin pour retrouver la trace de la jeune fille. Les parcours de Harley, de la Chasseuse, de Black Canary et de Renee Montoya se télescopent et ce quatuor improbable n’a d’autre choix que de faire équipe pour éliminer Roman…

  • Dilemme: Nous ne sommes pas vraiment fans des innombrables adaptations de bédés (DC ou Marvel), mais nous adorons Margot Robbie, qui mélange les genres et les rôles déjantés comme d’autres changent leurs sous-vêtements. Et comme le film est mis en scène et écrit par des dames, avec un personnage de bédé féminin, on serait bête de ne pas se laisser tempter. (jpt)

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Cathy Yan est la première femme asiatique à mettre en scène un film de super-héros. Elle est la deuxième réalisatrice à diriger un film DC après Patty Jenkins (Wonder Woman). Avec Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn, elle est passé d’un premier film indépendant (Dead Pigs) à un très gros film de studio. Elle confie: “Ca a été très vite. J’ai fait mon premier long métrage, Dead Pigs, avec lequel je suis allé à Sundance, l’an dernier, et trois mois après j’ai obtenu ce job. Bien sûr, le fait que ce soit un film d’action, et l’ampleur du projet font que c’est très différent et même si beaucoup plus de gens travaillent sur ce film, on a toujours à peu près les mêmes repères, donc j’ai pu utiliser mon expérience sur un film indépendant et la transposer facilement, et je crois que j’ai vraiment eu le feu vert de la part de DC pour faire absolument ce que je voulais.” (Dossier de presse)

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  • Warner Bros. has screened its latest DC Comics tentpole “Birds of Prey” for press, and the first wave of reactions on social media from film critics and journalists are universally strong. “Birds of Prey” is directed by Cathy Yan, making her studio debut after the indie drama “Dead Pigs,” and finds Margot Robbie reprising her role of Harley Quinn following David Ayer’s “Suicide Squad.” In the upcoming comic book action comedy, Harley is newly single from Joker and teams up with fellow heroes Huntress (Mary Elizabeth Winstead), Black Canary (Jurnee Smollett-Bell), and Renee Montoya (Rose Perez) to protect young Cassandra Cain (Ella Jay Basco) from the villainous Black Mash (Ewan McGregor) and his henchman after she steals his precious diamond. “‘Birds of Prey’ is delightfully unassuming and unconcerned with its place in a larger context. It’s a bonkers, bananas crime comedy and a genuine party movie,” writes Forbes’ Scott Mendelson about the film. LA Times critic Katie Walsh adds, “The film is a totally campy and brutal carnival ride; a colorful, chaotic and cheeky blast.” (Zack Sharf/IndieWire)

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LES TRADUCTEURS

Drame, thriller; Réalisateur: Régis Roinsard; avec Lambert Wilson, Olgy Kurylenko, Riccardo Scamarcio, Sidse Babett Knudsen, Eduardo Noriega; Scénaristes: Régis Roinsard, Daniel Presley, Romain Compingt; Directeur/Photo: Guillame Schiffmann; Musique: Jun Miyake; France 2020, 105 minutes.

Les Traducteurs. Productions du Trésor. Photo Magali Bragard.

Isolés dans une luxueuse demeure sans aucun contact possible avec l’extérieur, neuf traducteurs sont rassemblés pour travailler sur le dernier tome d’un des plus grands succès de la littérature mondiale. Mais lorsque les dix premières pages du roman sont publiées sur internet, et qu’un pirate menace de dévoiler la suite si on ne lui verse pas une rançon colossale, une question devient obsédante : d’où vient la fuite ?

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  • Sur un pitch de départ dans l’esprit des films de châteaux britanniques, Régis Roisard livre un thriller au suspense très efficace qui, tout en n’évitant pas certains clichés, réussit à imposer son atmosphère, en s’appuyant sur des décors et un casting aux petits oignons. (Les Fiches du Cinéma) Un huis clos angoissant qui participe à la désacralisation de la littérature et de l’édition, à l’heure où l’objet livre est devenu un produit comme les autres. (aBVoir-aLire.com) Un plaisant jeu de massacre en huis clos, tiré d’un fait réel. (Télérama) Le film est un europudding où la mise en scène et les dialogues se disputent le prix de la bêtise. Un manifeste pour l’art dans une œuvre qui en est dépourvue, [en bref] un ratage complet. (Les Inrocks)

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EL MAYOR REGALO

Litt.:”Le plus grand cadeau”; Documentaire; Réalisateur: Juan Manuel Cotelo; Scénaristes: Juan Manuel Cotelo, Alxis Martinez; Espagne 2018, 107 minutes.

La dernière séquence d’un western est prête à être tournée. En un clin d’oril, le réalisateur décide de modifier la fin heureuse classique, car la vengeance n’est pas heureuse – et ce n’est jamais la fin du conflit. Il parcourt le monde, à cheval, à la recherche d’une meilleure solution pour toute guerre…et pour son film!

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Difficile de trouver des textes sur ce film. Mais si vous lisez l’espganol. en voici un. Et vous avez la bande-annonce, bien sûr.

  • Un director está asediado por sus actores y por sus técnicos al rodar la escena final de su western. Todos se preguntan si quien debe morir es el malo o el bueno de la historia, y frente a esta disyuntiva recorrerá una serie de países en los que, quizás, halle la respuesta tan ansiada. Habitantes de Francia, México, Irlanda, Colombia y Ruanda le van relatando sus penurias y así sabrá qué hacer. Este film atípico habla, entre el documento y la ficción, de los problemas por los que atraviesan los habitantes de muchos países. El director español Juan Manuel Cotelo, aquí también actor, resumió así la necesidad de que los seres humanos se comprendan para construir un mundo mejor. (Adolfo C. Martinez)

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#JESUISLÀ

Comédie romantique; Réalisateur: Éric Lartigau; avec Alain Chabat, Doona Bae, Blanche Gardin; Scénaristes: Éric Lartigau, Thomas Bidegain; Directeur/Photo: Laurent Tangy; Musique; Evgueni & Sacha Galperine; France 2020, 98 minutes.

Stéphane mène une vie paisible au Pays Basque entre ses deux fils, aujourd’hui adultes, son ex-femme et son métier de chef cuisinier. Le petit frisson dont chacun rêve, il le trouve sur les réseaux sociaux, où il échange au quotidien avec Soo, une jeune sud-coréenne. Sur un coup de tête, il décide de s’envoler pour la Corée dans l’espoir de la rencontrer. Dès son arrivée à l’aéroport de Séoul, un nouveau monde s’ouvre à lui…

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Sous ses allures de comédie romantique, #Jesuislà est un récit initiatique sur un homme qui opère un retour à lui-même. Le personnage de Stéphane n’est pas malheureux, il est équilibré et ne cherche pas à changer de vie. Pourtant, il passe à côté de la sienne sans s’en rendre compte. “C’était ce qui m’intéressait”, explique Éric Lartigau, “qu’il parte soudainement à la poursuite d’une allégorie rencontrée sur Instagram. Et c’est vertigineux, car il la met en scène. Ce fantasme est un déclencheur. Nous allons nous rendre rapidement compte que son but ultime n’était pas de rencontrer Soo. Je suis persuadé qu’il le sait inconsciemment : ce que Stéphane recherche, c’est lui-même !” (Dossier de presse) 

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Comédie; Réalisateur: Élie Semoun; avec Élie Semoun, Mathys Gros, Émilie Caen, Frédérique Bel, Gérard Jugnot, Léopold Moati; Scénaristes: Guy Laurent, Marc & Philippe de Chauveron, Élie Semoun, d’aprés la bédé de Zidrou; Directeur/Photo: Christian Abomnes; France 2020, 90 minutes.

Nouvelle rentrée des classes pour l’élève Ducobu, Léonie Gratin et l’instituteur Latouche.
Mais cette année, un rival de taille pour Ducobu débarque à l’école : « TGV », le roi de la triche 3.0. Alors que la situation financière de Saint-Potache devient désastreuse, les deux cancres vont devoir unir leurs créativités pour remporter un concours de chant et sauver leur école…

  • Il y a un public pour les troisièmes volets d’adaptations de bédés françaises. Avec tout le respect que nous devons à ces spectateurs, nous ne nfaisons pas partie. (jpt)

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Le nouveau Ducobu, Mathys Gros, succède à Vincent Claude et François Viette dans le rôle de Ducobu. Il a été choisi parmi près de 2000 enfants. Il s’agit de ses premiers pas dans la comédie. Elie Semoun le décrit comme “un enfant sensible, espiègle, très touchant dans la vie comme à l’écran”. Il fallait cependant surveiller son débit car il parlait trop vite : “C’est un défaut que je connais car il est lié au trac : un comédien donne alors l’impression de vouloir se débarrasser de son texte au plus vite !” (Dossier de Presse)

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Le Mur des Lamentations 3.2.2020/13h30

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La bande-annonce nostalgique

RED RIVER de Howard Hawks (1948)

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